Wan’r cultive un art urbain dans l’ombre, celui du beatmaking. Il réalise des « instrus »aux multiplies influences, c’est à dire les musiques sur lesquelles chantent les rappeurs. Il n’a pas choisi le devant de la scène, il préfère travailler derrière son clavier. Dans son intimité. Petite frimousse de renard et regard déterminé, ce jeune homme toulousain de 27 ans travaille d’arrache-pied avec les rappeurs de la ville rose. Car il n’y a pas qu’à Paris que le rap pulse, bouillonne et grandit.
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